Dans les maisons ordinaires des quartiers ordinaires des villes ordinaires, il y a des femmes qui subissent chaque jour des humiliations extraordinaires. Et qui restent enserrées dans des liens conjugaux destructeurs alors que rien ne les empêche de s’en défaire. Dans son roman L'amour et les forêts, Eric Reinhardt aborde subtilement le sujet...
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« On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt c’est le voyage qui vous fait. » Cette petite phrase, citée de façon anodine par un personnage de la « Saison des Mangues » résume à merveille ce roman tout en mouvement et densité.
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Avec un titre comme « Voyage de noces avec ma mère », on ne pouvait que s’inviter nous aussi dans les valises de la romancière. Pour s'apercevoir que le mythe de la belle-mère envahissante n'a jamais été aussi vivant... Accrochez-vous, ça démarre au quart de tour.
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On en a tous rêvé : garder nos rêves d’adolescents, nos idéaux, nos espoirs et n’y rien changer. Ne pas se laisser corrompre par l’âge, le travail, la société quoi. On en a tous rêvé. Faber l’a fait.
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Voici un livre qui m’a fait très peur. Avec un titre aussi racoleur que « L’extraordinaire voyage du Fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea », j’ai cru immédiatement à la pantalonnade.
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Il y a des romans, comme ça, que vous dévorez, savourez, dégustez. Et dont il ne vous reste strictement rien une semaine plus tard. Cela donne ceci : - Tu as aimé Billie, le dernier Gavalda ? - Ah oui, adoré, c’est tout joyeux, paisible et espiègle à la fois. - Et ça parle de quoi ? - Euh… »
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Voici un roman qui vous fera l’effet d’un bon bain chaud. Il ne vous pétrira pas l’âme, ne déclenchera pas d’émotions à rompre les digues. Non, il va simplement vous envelopper, et vous en sortirez détendu, content de vivre, et de lire !
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Une révolution, qui unirait les sans-papiers, ceux qui n’en ont pas et ceux qui n’en veulent plus, dans une prise de Paris aussi inattendue qu’irréversible, mission impossible ? C’est sans compter sur les Renards Pâles !
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Voici un auteur qui a fait tout ce qui ne fallait pas faire : pas d’intrigue, pas de construction. Un roman dilettante. Mais voici sans doute le pire : ce livre est un petit bonheur.
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Vous pensez que tout va bien dans votre vie, que vous surfez sur une vague de bonheur que rien ne doit affaiblir ? Alors soyez vigilants, car toute réussite contient en germe son déclin. C’est la philosophie qui se cache derrière « Le sermon sur la chute de Rome », de Jérôme Ferrari.