Je savais d'avance que ce livre allait m'énerver. Mais je l'ai lu. Et il m'a énervé. Mais je le confesse aux prêtres de la littérature littéraire : pas assez pour que j'en abandonne la lecture. Dans son dernier roman, Marc Levy donne la vie à Julia, une talentueuse professionnelle du design installée au cœur de New York.
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Vous est-il déjà arrivé de deviner votre cadeau de Noël dix jours avant la fête ? Alors vous avez dû ressentir le même genre de déception que moi lorsque j'ai deviné le dénouement des « Déferlantes » trois cent pages avant la fin... J'étais entré dans ce roman plein de bonnes intentions, dûment équipé d'un bon imperméable.
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Il y a des romans dans lesquels vous entrez détendus, sereins. Et dont vous ressortez avec les cheveux en pétard et de la fumée qui sort des oreilles. Le nouveau bolide de Barbara Constantine met en scène Mélie, 72 printemps, veuve de Fernand. Mais ce n'est pas trop grave.
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Ce fut un moment de chaleur, un moment « cosy ». L'éditeur de Barbara Constantine a reçu, dans son salon tapissé de livres des quatre coins du monde, quelques joyeux blogueurs littéraires, dont notre modeste maison.
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Beaucoup d'auteurs tentent d'amuser le lecteur tout en l'instruisant. Fred Vargas, elle, l'amuse en le divertissant !
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Russell Banks m'a fait très peur. J'ai vraiment cru qu'il avait raté son roman.
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Vagin. Un mot tabou, dont on préfère les synonymes plus grivois, légers, familiers ou humoristiques. Dans son livre, Moïra Sauvage ne tourne pas autour du mot : elle l'utilise au moins cinq fois par page !
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En route pour une petite balade sous les jupons de l'histoire.
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Il y a des rêves dont on se souvient, le matin, et qu'on tente de déchiffrer avant qu'ils ne s'évaporent avec leurs enseignements. Il y a des romans si profonds et symboliques qu'ils ont les attributs du songe.
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Vous en connaissez sûrement. Des gens prétentieux que vous ne parvenez pas à détester. Connaissez-vous Alexandre Jardin ?