Un livre, c’est un peu comme une carte à qui l’on demande de nous guider dans les petits sentiers et les sous-bois d’une histoire. Parfois, il est agréable de se perdre, car on découvre alors des endroits inattendus.
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Les livres, c’est comme les gens. Il ne faut pas les prendre de haut. Démonstration.
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Je suis sûr que vous en connaissez. Des gens qui dépensent une énergie folle à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas.
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Le sirop d’Erable vous écœure ? Vous ne pouvez plus supporter les slows du genre « Hotel California » ? La boule de glace sur la tarte tatin devrait, selon vous, être rayée de la carte (des desserts) ? Alors ne lisez pas « Le canapé rouge ».
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Cela vous est déjà arrivé ? Vous entamez, un peu distrait, la lecture d’un roman. Et à mi-chemin, c’est la révélation : vous comprenez tardivement un élément qui change totalement votre lecture...
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Et voici le retour de Martin, notre spécialiste jeunesse. Et pourquoi lui ? Parce qu'il est jeune, pardi ! Je lui laisse la parole.
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C’est cruel, un roman de Philippe Claudel. Cruel pour les autres écrivains. Et cruel pour nous tous, tant l’âme humaine y est décrite sans amortisseurs.
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Vous arrive-t-il de dévoiler quelques détails de votre intimité à des inconnus ? Beaucoup ne le font qu’au compte-goutte. Philippe Forest lui, ouvre carrément le robinet, et y accroche le tuyau d’arrosage. Je plains son entourage, élevé malgré lui au rang de héros de roman d’amour.
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Marre des écrivains qui n’ont rien à dire et qui en font des bibliothèques ? Alors j'ai une bonne surprise pour vous. En voiture ! Ou plutôt : en roulotte !
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Ce qu’il y a de chouette avec Samuel Benchetrit, c’est qu’il annonce immédiatement la couleur. Vive.