D'accord, ce n'est pas le livre le plus comique que j'ai lu de ma vie. Je recommande même d'alterner sa lecture avec celle de Voici, ou de l'entrecouper avec un DVD de police Academy. Mais il est fort. Cécile Huguenin raconte l’histoire vraie de la déchéance de son compagnon et dans la même vrille, celle de leur amour de 30 ans.
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Un titre de roman, c’est une promesse. Avec « Le mec de la tombe d’à côté », Katarina Mazetti, n’avait donc pas le droit de nous décevoir. Elle suggère qu'on peut rencontrer l'amour partout. Nos tourtereaux se rencontrent donc auprès des chrysanthèmes, dans un lieu qui évoque certes l'éternité, mais pas complètement la vie : le cimetière local.
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Quand vous recevez un coup, vous restez hagard un instant, avec des étoiles qui tournoient au dessus de la tête. Vous vous asseyez et tentez de reprendre contenance, de dominer votre esprit qui cherche à comprendre. « Trois femmes puissantes », de Marie Ndiaye m'a fait ce effet-là. Un livre qui vous colle au tapis.
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Il était une heure du matin. La musique allait fort, la cigarette s'incrustait déjà dans les pulls. Le barman était débordé, nos corps bougeaient de temps en temps, ballottés par le courant des clients qui entraient et sortaient du bar. Puis je ne sais comment on en est arrivé à parler du livre électronique...
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Dans la vie, dit la sagesse populaire, faut pas trop se poser de questions. Mais puisque vous lisez (sinon vous ne seriez pas ici), c'est que vous vous en posez, des questions. La pire de toutes, c'est peut-être celle-ci: « Pourquoi lire ? ». Ce coquin de Charles Dantzig se l'est posée, lui aussi. Il en a fait tout un livre.
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Juliette Alice est insupportable. Je lui propose de nous écrire une petite bafouille sur l'Enfant allemand, de Camilla Läckberg, mais elle se pique carrément de lui écrire une lettre. Comme elle est têtue, je sais qu'elle ne changera pas d'avis. Voici donc une critique, pardon, une lettre sur ce roman pas comme les autres... (Bernard)
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Construire un pont ou écrire un livre c'est pareil. C'est en lisant le roman de Maylis de Kerangal que j'ai fait cette stupéfiante découverte. Son dernier roman, justement, raconte la naissance d'un pont.
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Tiens, je n'avais jamais vu ça : un roman qui vous donne l'impression de prendre un bain bulles. Vous vous y plongez et sentez progressivement monter une ambiance douce, un léger engourdissement, une agréable sensation...
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Quel livre! Ca commence sur un mode mineur: situations et dialogues si banals que vous hésitez à poursuivre. Vous vous demandez comment les critiques ont pu encenser ce bouquin. Puis tout à coup, vous vous sentez accrochés et plus rien alors ne pourra vous retenir de lire ce roman jusqu'au bout.
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Claire m'a vanté de ce roman avec tellement de passion, que je lui ai proposé de venir nous en parler ici. Je lui laisse la parole. Et merci, Claire pour cette découverte ! Reviens quand tu veux ! (Bernard) Aibileen et Minny sont deux bonnes noires au service de familles blanches dans le Mississipi des années 60.