Ca y est, ça recommence. Encore un écrivain à succès qui ouvre sa boîte à souvenirs et nous prie d’ingurgiter les dizaines d’anecdotes de son existence, nécessairement fabuleuse puisque c’est un écrivain à succès.
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Mais non ! les Parisiens ne sont pas arrogants, pressés, blessants, verbeux et cupides ! C’est mon avis. Mais ce n’est pas celui de tout le monde…
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Cela doit être le privilège des écrivains confirmés : ils ont ce droit précieux d’étaler leur tourment sur tout un roman. Le lecteur, lui, est prié d’accepter. Quand la vie de l’écrivain vaut le détour, ça passe. Quand elle dans la norme, ça casse.
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Petite leçon à destination des écrivains en herbe. Pour bien commencer son roman, il ne faut pas avoir peur d’attraper le lecteur brutalement par le col. Comme ceci :
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Cela m’intriguait : comment un ouvrage sur le suicide peut-il trôner en têtes des ventes de livres ? Soit parce qu'ils sont nombreux à y penser. Soit parce que ce livre est à mourir de rire. Il fallait que je vérifie.
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Peut-on, sans lasser, multiplier des ouvrages décrivant des petits moment agréables de la vie ? Avant de lire « La tranchée d’Arenberg et autres voluptés sportives », de Philippe Delerm, ma réponse était clairement : non !
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Il y a des plombiers de garde. Des pharmacies. Des night-shops. Mais lorsque vous avez une urgence littéraire un dimanche, que faire ?
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Voici la deuxième critique de Martin, 14 ans, notre spécialiste des livres "jeunesse" ! C’est l’histoire de Tal, une jeune Israélienne de 17 ans qui vit à Jérusalem. Elle est très attachée à son pays. C’est exactement (ou presque) comme on pourrait se l’imaginer : des attentats et des civils qui s’habituent à l’horreur quotidienne...
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Il a l'art de sentir les romans qu'il FAUT lire, et ses conseils m'ont valu quelques découvertes inoubliables. Il est donc logique que je vous en fasse profiter. J'ai donc l'honneur d'accueillir sur ce blog Phillippe, qui nous livre sa première critique d'un livre au titre alléchant. Je lui laisse la parole et bienvenue Phil. (bernard)
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Il y a des choses qu’il faut avoir faites une fois dans sa vie, parce que c’est comme ça. Visiter le Mont-St-Michel, par exemple. Ou lire un Mary Higgins Clark. M’étant jadis adonné au premier rite, je me suis donc acquitté du second.