La vérité, c’est que ce bouquin part d’une idée géniale : raconter la vie d’une famille d’indépendants comme les autres, sauf que le petit commerce qu’elle exploite, est spécialisé dans les accessoires pour le suicide. Il est très logiquement situé Boulevard Beregovoy…
Son slogan :
Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort. »
La vie quotidienne, au magasin, ça donne ceci :
Alan, combien de fois faudra-t-il te le répéter ? On ne dit pas "au revoir" aux clients qui sortent de chez nous. On leur dit "adieu" puisqu’ils ne reviendront pas. »
Lucrèce, Mishima et leur trois enfants, Vincent, Marylin et Alan passent donc leur vie à abréger celle des autres. Ils vendent des cordes résistantes, des parpaings en ciment et des fioles bourrées d’arsenic.
Lucrèce et Mishima, sont très fiers de leurs deux aînés. Vincent est diaphane et suicidaire, et Marilyn est grasse et mal dans sa peau. Le problème c’est Alan. Il dérange. Car il voit la vie en rose. C’est le clou du cercueil de ses parents :
« On le force à regarder les infos à la télé pour tenter de le démoraliser mais si un avion transportant 250 passagers s’écrase et qu’il y ait 247 morts, lui ne retient que le nombre de rescapés. »
L’enfant rebelle va doucement semer l’optimisme, comme on inoculerait un poison. Il rend le sourire aux clients, et c’est très mauvais pour le commerce.
Je ne veux prendre le risque de tuer le suspense en vous racontant la suite. Disons simplement qu’on rit, mais que Jean Teulé exploite jusqu’à la corde du pendu la bonne idée de ce commerce de la mort. Au risque d’en faire trop, beaucoup trop, je trouve, et de livrer l’histoire sans grande finesse, ni dans l’écriture, ni dans la manière d’agencer les événements. Sans parler d’une fin un peu abrupte (logique, me direz-vous…). Cela étouffe un peu l’humour et l’émotion.
C’est dommage parce que le personnage d’Alan est salutaire en ces temps de pessimisme rampant. Un petit garçon qui se bat contre ses aînés parce qu’il croit au sourire, qu’y a-t-il de plus beau ?
Le magasin des suicides, Jean Teulé, Julliard, 157 pages, 17 euros. Vous pouvez le commander sur Amazon.
Critiques, avis et analyses
Les extraits que tu citent m'ont fait bien rire, dommage que la fin, apparemment, gâche l'ensemble du livre !
Je suis d'accord avec ton analyse.
L'idée est bonne. L'histoire s'installe bien mais cela part en vrille. et la fin est bizarre. Comme si l'auteur à bout de souffle avait voulu en finir.
Si tu veux un bon livre drole (?) sur le suicide, je te recommande "Suicide entre amis" de A Paasilina. C'est bien meilleur.
On m'a beaucoup parlé de ce livre autour de moi!! Je suis très curieuse de voir ce que ça donne!!
Salut. Moi, Je n'ai que 15 ans, donc je n'ai pas analysé le livre comme un si grand érudit qu'est Bernard ! Pour ma part, j'ai juste dévoré le livre. Quand on est jeune, pas le temps de discutailler. Néanmoins, Bernard ma donné un trés bon apercu du livre, et je prends du recul a present. Au revoir, mon cher ami (le fou).
J'ai découvert ce livre sur la table de chevet de ma soeur. Elle a "Adoooré". Méfiance, donc. Mais le concept m'intrigue et me tente.. Je crois que je vais céder. Par contre, je ne conseillerais pas Petits suicides entre amis, c'est très répétitif, pas si drole et sans surprise !
Je viens tout juste de finir "Le magasin des suicides". C'est assez divertissant. J'ai beaucoup aimé le passage sur la petite fille sur le banc du préau...mais, sans dévoiler la fin, je dois avouer que je suis très déçue par celle-ci. Est-elle crédible?
j'ai un probleme de comprehension sur la fin de l'histoire. " lA Mission d'allan est accomplie, il ouvre sa main " j'ai un doute, s'il ouvre sa main, c'est qu'il se suicide non ? Jespere avoir mal compris, deja que dans les dernieres pages la fin s'annonce rapidement, d'un revirement presque trop beau pour etre vrai.
j'aime pas cette fin, j'y arrive pas, apres tout, avoir autant de force et de joie de vivre contagieuse, ne peut finir par ce suicidé. Penser que c'est d'une logique implaccable en rapport au sujet du livre, et que celui qui se suicidera n'est pas celui ou celle qu'on pense. mais j'aurai ce gout amer et profondement decu, de cette fin tres rustre. Non je ne suis pas pour les happy end, mais que penser a l'avenir de cette famille qui voit la force de vie qui a tout donner pour eux s'eteindre a la vie. peut-on penser que leur vie sera aussi belle, faire comme si de rien était. Non je m'y fait pas, ce n'est qu'un livre, une histoire virtuelle, mais cette fin ne me convient pas. J'en est que faire de la logique et que c'est une fin ideale pr le theme générale du livre. Je voudrais une autre fin. Tant j'aime l'auteur, Tant jaurais aimé pouvoir lui dire ce commentaire.
Un enfant non voulu, qui fait tout pour rendre la vie a sa famille, en se rendant indispensable a l'existance de cette famille ne devait pas finir comme ca. Decevant, injuste, triste. Peut-etre que ma vie m'a fait voir le deuil deja a mon jeune age. Je sais que je parle trop, que j'en fais peut-etre trop, pe etre ma sensibilité et mon humanisme.
veuillez m'excuser.
j'en suis à la première partie, jubilatoire ! c'est déjà çà...la suite, bon on verra.mais j'ai déjà bien rit, merci monsieur teulé et à bientôt
Tout à fait d'accord avec vous. Le premier tiers est extra. On a les zygomatiques qui fonctionnent à fond et il est hors de question de lâcher le livre. Jean Teulé aurait pu arrêter là... J'adore les happy end mais là je n'aurais pas détesté une fin un peu plus caustique.
voila mon fils vient de rentrer en 6ème et leur prof de francais qui leur fait aussi faire du theatre leur a demandé aujourdhui de lire ce livre .qu en pensez vous?
Bonjour tout le monde,
je viens de découvrir ce site, quelle aubaine!
j'ai ADORE "le magasin des suicides" et je n'ai pas hésité à l'offrir autour de moi. C'est un livre que je relirai sûrement si j'ai le cafard.
Franchement, j'ai adoré la fin. (Suis-je la seule?) J'ai trouvé qu'elle collait parfaitement avec l'ironie et l'humour noir présent tout au long du livre. Je n'ai pas pu prendre cette fin au sérieux, et le suicide du "lutin rose" m'a fait (sou)rire. Tout le livre était écrit avec un humour au 200eme degré, il me paraissait impossible que ça se finisse bien: "tout le monde est content, tout le monde s'entend bien"; cette fin m'aurait parue un peu "cucul" par rapport à l'histoire. Bref, ça ne se prend pas au sérieux, et je pense que la fin est à prendre avec humour.
Un livre original bourré d'humour noir mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
J'ai trouvé la plume de Teulé un peu plate et approximative lors de certains passages.
J'ai détesté cette fin. Autant j'ai aimé le livre tout entier, autant j'ai adoré les changements (assez flous) dans la boutique, autant j'ai haï la fin de tout mon être.
J'ai l'impression d'être en deuil. J'aimais tellement Alan, je n'arrive pas à croire à sa mort, et songe à contacter l'auteur pour avoir des explications (dans ma petite tête d'enfant de douze ans, cela me semble facile, je l'espère).
J'ai la gorge serrée depuis plus de 10h, et l'envie de pleurer remonte chaque instant. Je suis très émotive, d'accord, mais très franchement, je trouve que même si on rit bien durant le livre, la fin nous démoralise complètement, et moi qui ait la déprime facile, ce genre de fin me révolte.
Je ne comprend pas. Je ne vais pas prendre le point de vue de l'auteur, il m'énerve assez en ce moment. Non, plutôt : comment Alan a-t-il pu faire ça ? Ce geste ne lui correspond pas. Depuis sa naissance il s'efforce de faire "vivre" sa famille, et au fil des années il est devenu le centre de leur monde, alors comment a-t-il pu se suicider et les plonger dans une abîme profonde, celle du deuil, qui plus est de leur centre de gravité ?
Je ne comprend pas.
Comment a-t-il pu laisser sa soeur, enceinte ? Sa mère qui l'adorait, son père qui l'aimait, son frère qu'il ramenait dans le droit chemin ? Déjà que nous avions tous constaté à quel point Alan leur manquait alors qu'il était au commando-suicide. Lorsqu'ils s'inquiétaient qu'il soit mort, que s'est-il passé lorsque il est mort sous leurs yeux, suicidé ?
Comment penser une seconde que cette fin où un ange, car oui, c'est un ange, se suicide alors qu'il passe tout le roman à contrer la mort, est joyeuse ?
Quel accès de folie a traversé l'auteur pendant son roman ?
Désormais, rien que de lire, penser, voir des boucles blondes me fait mal. Très mal au coeur.
Je trouve ça consternant, un auteur qui fait mourir ses personnages, et je ne comprend pas comment des gens ne peuvent pas aimer les Happy End ! Le concept d'un bon bouquin, c'est deux ou trois morts avant la fin ? Qu'est-ce qui attire autant dans ce genre de livre ?
Le souvenir de ce lutin constellé de tâches de rousseurs et au crâne garni de boucles blondes, me fera toujours très mal, et même si je sais que ce n'était qu'un personnage de fiction, le fait qu'il soit mort me hantera toujours, car si un dépressif sur le point d'en finir avec sa vie achète ce livre, il sera d'abord rassuré par les paroles d'Alan, puis découvrant sa mort, passera le pas de son existence à l'arsenic.
C'est tout ce que j'avais à dire.
je n'ai pas vraiment apprécié ce livre je trouve que l'histoire aurait été plus adaptée à une BD d'humour noir
J'ai beaucoup aimé ce bouquin, même si normalement, il ne rentre pas dans mes genres de prédilection (sauf concernant l'humour, ce style, j'adore.) Je lis d'un peu tout, ayant une nette préférence pour le fantastique et la fantasy, ainsi que les policiers. Je n'avais pas compris la fin à la première lecture, tout à ma joie que tout s'arrange, j'ai sauté la dernière phrase. Oui, c'est mal, mais je suis une lectrice passionnée. Mes modestes écrits sont le plus souvent des tragédies, et encore, la seule nouvelle humoristique que j'ai mise en ligne est une histoire de vampire et de monstres (pour résumer, le Comité Des Monstres Anonymes a besoin d'un nouveau membre pour Halloween. C'est donc le vampire qui se charge du "recrutement" du nuveau, ou plutôt, de la nouvelle, une jeune étudiante mal-aimée qui a trouvé, un peu plus tôt sur sa porte, une invitation à la fête d'Halloween. Donc, même si elle revit, elle meurt avant.) et mes phrases sont torturées et un peu grandiloquentes, mais jamais je n'aurais fait mourir Alan sans raison. Je n'y comprends vraiment rien. Après, il n'y a peut-être rien à comprendre, mais ça laisse un goût étrange et franchement désagréable, comme un crissement de craie sur tableau noir après une mélodie agréable.
Je viens à l'instant de terminer "le magasin des suicides" je suis tout à fait d'accord sur le fait que la première partie du livre offre une histoire bien originale, j'ai tout aussi apprécié la reconversion du magasin, mais la fin... je n'arrive pas à comprendre pourquoi Jean Teulé à séparé Allan de sa famille en le faisant mourir. Je n'en reviens toujours pas, alors si quelqu'un à une explication, je suis prête à l'écouter. Merci d'avance.
J'ai plutôt aimé ce livre car il a une certaine originalité et les idées toutes plus farfelues les unes que les autres pour se suicider semblent foisonner dans la tête de Jean Teulé. Cependant, je trouve que l'écriture est parfois trop familière et trop simple, j'ai l'impression à certains passages que moi-même, j'aurais pu mieux les écrire. Par exemple, lorsque Marylin joue avec le foulard et découvre son corps, il y a je trouve un mot qui vient gâcher toutes ces sensations qui s'éveillent en elle : "son cul". On est interloqué par ce mot qui ne colle absolument pas avec le reste du passage et pour ma part ça m'a totalement fait sortir de cette description.
Enfin, la toute fin est assez étrange. Je pense que Jean Teulé ne savait pas trop comment finir avec cette histoire alors il a décidé de terminer de cette manière. Je pense que si on lui posait la question, il ne saurait même pas dire ce à quoi il pensait à ce moment-là. On pourrait lui dire "mais vous ne pensez pas qu'Alan est une sorte de Jésus envoyé pour sauver ce monde morose et mélancolique et qu'une fois que sa "mission" est achevée, il redevient poussière ? que cela expliquerait qu'il soit né par inadvertance ?", eh bien je pense que l'auteur découvrirait cette signification qu'il avait peut-être dans un coin de sa tête en l'écrivant mais cela est resté flou. Cela m'énerve particulièrement ce genre de fin où l'auteur "laisse le lecteur ou le spectateur imaginer la fin", car on ne demande pas à imaginer quelque chose si on lit un livre ou qu'on regarde un film, on le fait pour qu'on nous raconte une histoire, et ce du début à la fin. Je trouve ce genre de fin très facile et beaucoup trop utilisé, comme pour faire une fin "qui claque" mais que personne ne comprend au final.
Mais je m'égare. En tout cas, cela a été un livre très divertissant et je l'avoue très prenant au début car je n'étais pourtant pas dans une période très lecture à ce moment-là mais je l'ai lu pourtant en 3-4 jours (bien qu'il soit court).
et bien moi je peux vous dire que ses le seul livre que j ai lu entier de ma vie je n ai que seize ans mais bon . . l histoire est pas mal trouvé et bien marrante et le p'tit est trop terible serieusement bon livre et avec le kiss machon bien vu chapeau bonne soirée a tous
"Le seul livre que j'ai lu en entier de ma vie", ça c'est un super compliment pour un auteur ! Merci Ben et bonnes lectures !!
J'ai beaucoup apprécié ce livre à humour noir.
L'histoire est bonne, on sourit tout le temps, vraiment sympa a lire! Mais il y a une chose que me perturbe: la mort du petit Alan, pourquoi ?
Il représente une sorte d'ange qui repart dans les cieux une fois son travail effectué ?
Le personnage de Alan en a marre de la vie, il veut juste le bonheur de sa famille et abandonne tout une fois son souhait réalisé (moins crédible) ?
Ou Alan représente juste l'enfance qui apporte la joie dans une famille et qui disparait une fois grand ?
Qu'on m'explique SVP
Alan se suicide peut-être pour faire réagir sa famille et les changer définitivement en leur montrant à quelle point le suicide peut faire mal autour de soi. Je pense que c'est le moyen qu'il a trouvé pour faire réagir sa famille sur la gravité de leurs articles.
Mais je ne suis sûre de rien
Bonjour a tous,alors je pense que la mort d'Alan n'est pas écrite,le roman se terminant sur cette phrase"Sa mission est accomplie,il ouvre la main." ne signifie pas forcement le suicide,et si il ouvrait la main libre?(il est bien dit qu'il ne s'accroche qu'a une seule main a cette bandelette) ne serrais-ce pas plus en adéquation avec ce qu'il est? avec le message qu'il veut faire passer? Pour ma part,je préfère cette version la. Je pense que Jean Teulé a voulu laisser cette interprétation au lecteur,et la est justement la morale de ce livre,si on nous laisse imaginer la fin,c'est justement pour que notre philosophie se reflette dans l'acte du personnage,dans sa mort,ou dans la continuitée de sa vie,un peu une sorte de "avez vous compris ou pas ce qu'il fallait retirer de ce livre". encore une fois c'est ce que je pense,et pour repondre a un commentaire que j'ai lu plus haut,un livre est plus qu'une histoire,il est la base d'une reflexion sur des personnages,actes,ou facon de vivre. a vous de voir comment vous choissiriez de le lire,mais une chose n'as jamais qu'une seule fonction :)
Je viens de finir ce livre, que j'ai beaucoup aimé. La fin est vraiment bizarre, on a l'impression qu'il y a une suite...
Bonjour à tous :)
Personnellement, j'ai fini le roman il y a de cela plusieurs mois, et je peux vous dire qu'il me travaille encore !
A la base, je ne pensais pas l'acheter, ni même le lire... Je pensais encore moins qu'il existait.
J'avais simplement vu sur "Allociné" qu'un film d'animation allait sortir.
J'ai vu un jour ce roman en boutique, et j'ai remarqué qu'il possédait le même nom que le film.
Je n'ai pas hésité cinq secondes, je l'ai acheté.
Et je suis loin d'en être déçue !
En effet, malgré le titre peu enchanteur (d'ailleurs c'est pour cette raison que je l'ai acheté...), l'histoire est très vive et très gaie.
J'ai tout de suite adoré le concept !
Quant à la fin... Je pense qu'Allan "ouvre la main", lâche la corde, et s'écrase sur le sol.
Je ne suis pas pessimiste.
Je pense simplement qu'il a réussit à redonner espoir à sa famille, qui elle redonne de l'espoir aux suicidaires.
Tout ceci met le lecteur dans une euphorie jubilatoire où le héros triomphe toujours !
Cependant, quand Allan ouvre sa main, l'auteur veut nous rappeler que quoique l'on fasse, rien n'est acquis.
Il faut se battre encore et encore.
Que ce n'est pas les autres qui contrôlent notre vie, c'est nous-même.
Alors je pense que la mort d'Alan était préméditée.
On pourrait aussi faire une comparaison religieuse....
Par exemple en prenant Jésus qui se donne corps et âme aux autres, jusqu'à finir cloué sur un bûcher.
"Sa mission est accomplie."
Il peut maintenant réapparaître dans un autre endroit, sous une autre forme, pour une nouvelle mission.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais à la fin du roman, une dizaine de pages restent vierges.
Comme si c'était à nous de finir l'histoire.
Il suffirait d'y ajouter par exemple un trampoline (comme dans le film)ou Alan arriverait, sauterait,et ce serait la "Happy Ending".
Je pense que "Le magasin des suicides" n'est pas qu'un livre anti-dépression. Je pense que Jean Teulé l'a écrit pour nous dire "Prends ta vie en main !"
J'ai bien aimé ce livre, un peu redondant par moments. Mais je n'ai pas compris la logique de la fin... Mais je n'ai pas lu l'édition originale, seulement la réédition d'après le film, et il n'y a qu'une seule page blanche à la fin, pas de quoi comprendre quoi que se soit. Même sans les pages blanches, il est vrai qu'on a envie de la réécrire cette fin. De prendre en main l'histoire, c'est peut-être cela, la clé. Est-ce un clin d'oeil? Ou bien n'a t-on d'un bout à l'autre rien compris à la psychologie du personnage d'Alan?
On aimerait rajouter : Le père qui rattrape in extremis le bras d'Alan et lui propose...une crèpe!
Votre article décrit exactement ce que j'ai ressenti à la lecture de ce livre.
@micreah je crois que tu as tout dit c'est une très belle analyse que tu nous dis je suis tout à fait d'accord pour moi il ne faut pas voir la mort d'Alan comme un travail bâclé de l'auteur mais sa mort comme non définitive
Ce livre est pour moi un livre qu'il faut lire l'écriture est très facile et d'une grande simplicité on se laisse très rapidement emporter dans le livre et dans cet univers.
Même si la fin semble un peu rapide comme pour amener la mort d'Alan plus rapidement et plus marquer le lecteur bref j'ai vraiment aimé ce livre